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PSYCHANALYSE
LE DESIR
DESIR
en psychanalyse
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PHILOSOPHIE
Le désir
Le Désir
Le Désir s’entend comme un souhait irrationnel, obsédant et impossible à satisfaire.
Il porte sur ce que l’on ne possède pas et en ce sens, il est un manque.
En philosophie, nous dirons qu’il y a une double négativité dans le désir, puisqu’en se satisfaisant, il s’annule et annule du même coup, l’objet désiré.
Cependant, en s’annulant, il se renouvelle et ceci sans cesse.
Ainsi cette double négativité fait que le désir est insatiable.
L’irrationalité, l’insatiabilité sont constitutives du désir.
Si le désir peut être obsédant au point d’exercer une emprise psychique sur l’homme, peut on pour autant renoncer à définir l’ homme comme un être de désir?
En effet, définir l’homme comme un être de désir, c’est comprendre que l’ horizon de ses aspirations ne se limite pas à ce qui lui est instantanément donné, ni au monde, ni dans son rapport aux autres et à lui-même.
Cependant, si la condition de l homme est d’être désirant, elle est à la fois condition de nos malheurs et de nos joies.
La question est alors de s’interroger sur l’influence du désir sur l’homme
Nietzsche ira plus loin qu’Epicure,en affirmant que la souffrance est non seulement supportable, mais désirable, aimable, c’est le sens de “l’Amor fati”, c’est -à -dire aimer son destin, y consentir.
Aimer ce qui nous arrive, c’est accepter ce qui relève du mal, du négatif, de la douleur, de la souffrance qui en fait partie.
Le désir est loin d’ être la cause de tous les malheurs de l’homme, comme le pense Socrate.
Cette notion “d’Amor fati”n’ est
pas dans Zarathoustra, mais on y retrouve un grand oui à l’existence.
En effet, c’ est dans l’ affirmation, le consentement, l’ assentiment à la vie, sous toutes ses formes, qu’il y a matière à la joie, à la béatitude, au bonheur et même à la santé.
“La souffrance est un plaisir ” dit Nietzsche dans “le Chant du marcheur” , dans Ainsi parlait Zarathoustra.
Mais là encore, la souffrance n’est pas un plaisir sur le mode sadomasochiste, car souffrir ou faire souffrir serait une jouissance.
Il y a une attitude à adopter devant la souffrance, une sorte de maîtrise ou de domination de la souffrance, qui génère une jouissance.
Ainsi , à défaut d’ obtenir ce que l’on désire, il faut désirer ce que l’on a.
C’est dans cette logique qu’il faut appréhender l’aphorisme du Crépuscule des Idoles ” Ce qui ne me tue pas, me fortifie” ,” Appris à l’école de la vie “.
Brigitte
Léa
Arrêt et reprise en philosophie
Dans la Torah “Le Rythme” à un rôle primordial dans nos pratiques des mitsvots.
L’écoute
ROCH HACHANA :
Entendre et S’entendre pour ne plus souffrir…
Lorsque l’enfant parait, les parents subjugués par cette nouvelle vie qui les comble et les
submerge de bonheur, vont vivre un moment très particulier…
Là où le temps est suspendu, là où les mots restent absents, et là où les yeux papillonnent,
L’IDEAL de l’enfant prend forme…
L’enfant de son côté, entre toucher, regards et sons, va vivre cette chute de façon douloureuse,
car il se sent parachuté d’une galaxie où calme et sérénité habitent ses jours, à un monde fait de
bruits, d’images et de présences…
Percevant bien sa mission parmi ses « pairs », et parfois dans un DENI d’arrivée, il va rester
silencieux, d’où la nécessité d’une petite claque, pour obtenir ses larmes qui signent la prise de
conscience psychique de cet espace ici-bas.
Ouvrant les yeux sur le monde, alors que son sens de la vue n’est pas opérationnel, il n’aura de
cesse que de focaliser tout son émotionnel sur les images, les sons et les odeurs qui l’entourent,
pour tenter de décrypter le SENS des codes de notre monde et qui sont à l’inverse de ceux qu’il
connait et dont il est issue.
Comment donc se fabriquer à partir de cette pré-fabrication??
La langue maternelle n’est pas seulement composée de mots prononcés, c’est un bain de
langage contenant tous les ressentis, CONSCIENTS et INCONSCIENTS de celle qui a porté
l’enfant, et de son conjoint.
Le couple va s’inscrire dans une TRIANGULATION qui va fortement influencer l’enfant dans ses
identifications pour asseoir sa personnalité future.
L’enfant est donc à ce stade là, et à son insu, le dépositaire de données dont il en ignore luimême le contenu.
L’éducation des parents va permettre « d’élever » du mieux possible ce nouvel être qui n’est à la
base que le produit d’une contradiction :
– Entre lui , ses parents et sa famille
– Entre ses 2 parents ensemble
– Entre lui et l’extérieur .
L’école et les apprentissages vont alors débuter, avec le cortège de Droits et Devoirs et là où la
LOI n’était que susurrée, elle va s’imposer dans une nécéssaire socialisation de l’enfant.
Au fil de son grandissement, il va se découvrir des traits de caractère, issus de ses géniteurs
puisque formaté par eux.
Il y aura très souvent des mésententes et des conflits, qui sont le signe d’une construction en
cours.
Avec des parents « bons négociateurs » une Loi souple et ferme pourra se mettre en place,
l’enfant y trouvant les « bonnes limites » se développera harmonieusement, et apprendra à
connaitre son propre désir, et à respecter celui de ses parents, tout en découvrant le SENS de sa
vie.
Une loi rigide va enfermer l’enfant dans un DENI, car se sentant incompris dans ses besoins, il va
se replier sur lui même et ruminer sa colère et sa déception.
Néanmoins il va tenter d’être « conforme » car par amour pour ses parents l’enfant va vouloir
réaliser leur désir, mais va inhiber le sien propre.
Dans une ultime tentative d’exister dans son propre désir, il va mettre en place des stratégies
défensives visant à se protéger de l’autorité des parents ressentie comme massive et intrusive.
L’enfant idéalisé ne correspondant jamais aux attentes des ses parents, va entretenir avec eux un
amour haineux et fabriquer une relation où L ‘AMOUR FAIT MAL .
– ça fait mal quand l’autre ne nous entend pas
– ça fait mal quand l’autre ne nous regarde pas
– ça fait mal quand l’autre ne nous ressens pas .
Lorsque l’amour fait mal, la bouche SE TAIT .
L’enfant n’a pas pu se loger au creux de l’oreille, ni à la lisière du coeur de celui ou celle qui en a
la charge.
Il a abaissé son coeur au bord du précipice, les mots devenus encombrants, voir inutiles vont se
transformer au fil du temps en symptômes, qui vont apparaitre dans un cortège de somatisations,
allant du petit bouton sur la peau, à la maladie chronique.
Ne l’oublions pas , la maladie apparait :
– Sans prévenir
– Sans bruit
– Sans odeur
– Sans image
– Sans mots
Le corps va donc parler dans la douleur, les émotions liées aux souffrances restées prisonnières
et enfermées dans le silence des non-dits voir du DENI .
La vie SANS MOTS deviendra une blessure HORS MOTS qui, en saignant va parler le manque de
l’autre.
Vous savez bien que la MALADIE est un MAL A DIRE …
Roch Hachana, c’est la nouvelle année, où tout redevient possible, à condition d’une sincère
introspection pour sortir du DENI des émotions refoulées.
C’est aussi le souvenir de la sonnerie, qui rappelle la petite claque reçue à la naissance.
Cette sonnerie s’adresse surtout à l’enfant intérieur dans l’adulte, celui qui sa vie durant devra
aborder, affronter, accepter et s’adapter à la différence des Autres.
Cette sonnerie n’est-elle pas alors un signal d’alarme destiné nous réveiller de notre léthargie
habituelle?
Cette sonnerie n’est-elle pas aussi une nouvelle façon d’entendre que l’on peut mieux s’entendre
avec soi-même et avec les Autres ???
Dans cette reconnaissance des SENS et du SENS … le SON du CHOFFAR nous apparait comme
la voix de la conscience, la quintessence de L’Etincelle Divine déposée en nous, qui en se
réactivant et en perçant nos oreilles, va transcender notre âme.
Afin de mettre à jour et de traiter le fardeau du passé endolori, et bloqué dans les interstices de
notre cerveau et de notre coeur, ne restons pas SOURDS à cette nouvelle VOIX/VOIE qui nous est
proposée.
Essayons d’être les bons conducteurs de notre vie. Ne prenons pas la route en CONTRE-SENS ,
et refusons la facilité qui serait de croire que nous avons le temps… au risque de croiser pendant
ce temps là, sur notre chemin des « CHAUFFARDS » égarés.
Chantal HAGEGE
Psychologue
Psychanalyste
PSYCHOLOGIE
ARRÊT / REPRISE
Léa
Arrêt et reprise en psychologie
Dans la Torah “Le Rythme” à un rôle primordial dans nos pratiques des mitsvots.
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Psychanalyse
Philosophie
Le Désir
Le Désir s’entend comme un souhait irrationnel,obsédant et impossible à satisfaire.
Il porte sur ce que l’on ne possède pas et en ce sens, il est un manque.
En philosophie, nous dirons qu’il y a une double négativité dans le désir, puisqu’en se satisfaisant, il s’annule et annule du même coup, l’objet désiré.
Cependant, en s’annulant, il se renouvelle et ceci sans cesse.
Ainsi cette double négativité fait que le désir est insatiable.
L’irrationalité, l’insatiabilité sont constitutives du désir.
Si le désir peut être obsédant au point d’exercer une emprise psychique sur l’homme, peut on pour autant renoncer à définir l’ homme comme un être de désir?
En effet, définir l’homme comme un être de désir, c’est comprendre que l’ horizon de ses aspirations ne se limite pas à ce qui lui est instantanément donné, ni au monde, ni dans son rapport aux autres et à lui-même.
Cependant, si la condition de l homme est d’être désirant, elle est à la fois condition de nos malheurs et de nos joies.
La question est alors de s’interroger sur l’influence du désir sur l’homme
Le désir, par son caractère obsédant, est-il un obstacle à la raison et faut-il,comme le pense Socrate, se libérer de la tyrannie du désir ou si le désir est créateur et moteur de nos actions?
Ces questions nous amènent aux ambiguïtés du désir.
La première ambiguïté réside dans la relation entre le désir et la sagesse.
L’ entretien entre Calliclès et Socrate dans le Gorgias explicite parfaitement bien cette ambiguïté.
En effet, Calliclès contre Socrate fait
l’ apologie du désir, il y a une exaltation du désir et une réhabilitation des passions
Calliclès voit dans l’abandon des passions, la source de l’accomplissement de soi.
Mais cet abandon n’est pas une passivité, cela requiert de l’intelligence et du courage d’être à l’écoute de soi-même, d’inventer et de raffiner le plaisir, de braver les interdits.
Nous dirons qu’il y a chez Calliclès une dialectique de la passivité et de l’activité:
Plus nous nous laissons guider par nos passions, plus nous nous identifions à la source de la vie, du désir et plus nous devenons créateurs, actifs, intelligents.
Les passions nous transcendent, nous subliment.
La force qui parle en nous, avec plus ou moins d’intensité, est précisément cette force du désir.
Ce qui importe pour Calliclès, est l’instant toujours renouvelé du plaisir, un plaisir en acte et non un plaisir qui naîtrait de l’absence du désir comme le soutient Socrate.
Ainsi, loin d’être un manque ou un vide, le désir est la force vitale de l’homme, il exprime sa puissance d’être et non son manque d’être.
Socrate accusera Calliclès d’établir une confusion entre le bien et l’agréable.
La position de Calliclès, du fait de l’insatiabilité du désir, est irréalisable et ne peut être soutenue sans engendrer la contradiction.
Ce que veut démontrer Socrate est qu’il faut distinguer ce qui est agréable et ce qui est bien.
Le bon n’est pas l’agréable.
De plus, tous les désirs ne sont pas équivalents et ne doivent pas être également recherchés
Le désir n’est pas pour Socrate, le moteur de l’action mais la cause de tous les tourments de l’homme
Le plaisir naît de la limitation du désir, c’est un plaisir fait de sérénité
Le plaisir du sage est précisément dans le repos que procure l’absence de troubles.
Tyrannisés par le désir, nous sommes incapables , quelque soit notre pouvoir, d’exercer le seul vrai pouvoir, celui de nous gouverner nous- même.
Pourtant, désirer, c’ est établir un lien entre le réel et l’imagination, c’est aspirer à une autre réalité, qui n’est pas présente
Or, cette aspiration n’ est-elle pas fondamentalement humaine ?
Désirer, c’ est disposer, en imagination, d’une autre existence dont on espère la réalisation
Et c’ est précisément cette idée qui nous amène à la deuxième ambiguïté du désir.
Ce qui est source de contentement n’est pas tant de satisfaire ses désirs que de désirer
C’ est en cela que l’acte même de désirer est fondamentalement humain.
Un homme qui ne désire pas est un homme sans vie.
Ainsi le désir doit se penser “comme désir de désirer”
Et c’est bien de cela qu’il s’agit lorsque l’on parle du désir.
Le désir s’associe à la condition même de l’humanité qui est sa propre finitude.
La conscience qu’a l’humanité de son caractère inachevé crée, chez l’homme, un sentiment de vide.
Or, c est précisément ce sentiment de vide que l’homme cherche à combler par le désir.
Le désir, contrairement au besoin, possède une dimension psychologique.
Il devient alors nécessaire de s’interroger sur la nature de nos désirs et d’évaluer si une hiérarchie du désir est envisageable, comme le fait Epicure.
L’épicurisme distingue sur le désir, ce qui est naturel , ce qui est strictement nécessaire et ce dont la satisfaction n’ est pas absolument vitale.
Mais, l’intention de cette classification n’est pas de limiter la quête du désir à ce qui est strictement nécessaire, car l’épicurisme n’est pas un ascétisme.
Epicure cherche à préserver l’accès au bonheur, ou du moins l’absence de troubles.
L’état “d’ataraxie”,soit l’absence de troubles dans l’âme, et l’état “d’aponie”, soit l’absence de troubles dans le corps est la condition du bonheur.
Ainsi, l’épicurisme est un hédonisme, au sens où le bonheur est le but de la sagesse .
La source de ce bonheur est le plaisir, mais cette quête ne donne pas libre cours à tous les désirs.
La classification des désirs œuvre la voie à la maîtrise mesurée du plaisir
La question porte ici sur la possibilité de rationaliser le désir.
N’y -a t -il pas une confusion, comme le dénonce Nietzsche, entre cette rationalisation des désirs avec les diverses formes de renoncement gratuit de sacrifice pour le sacrifice, qu’il désigne par le nihilisme?
Nietzsche accuse la morale occidentale de prôner un culte à la privation et d’avoir confondu la sagesse du désir avec une condamnation de tout désir, toute volonté, transformant cette sagesse en ascétisme et mutilant ainsi l’existence humaine, qui brise son pouvoir de se dépasser elle-même.
Nietzsche ira plus loin qu’Epicure,en affirmant que la souffrance est non seulement supportable, mais désirable, aimable, c’est le sens de “l’Amor fati”, c’est -à -dire aimer son destin, y consentir.
Aimer ce qui nous arrive, c’est accepter ce qui relève du mal, du négatif, de la douleur, de la souffrance qui en fait partie.
Le désir est loin d’ être la cause de tous les malheurs de l’homme, comme le pense Socrate.
Cette notion “d’Amor fati”n’ est
pas dans Zarathoustra, mais on y retrouve un grand oui à l’existence.
En effet, c’ est dans l’ affirmation, le consentement, l’ assentiment à la vie, sous toutes ses formes, qu’il y a matière à la joie, à la béatitude, au bonheur et même à la santé.
“La souffrance est un plaisir ” dit Nietzsche dans “le Chant du marcheur” , dans Ainsi parlait Zarathoustra.
Mais là encore, la souffrance n’est pas un plaisir sur le mode sadomasochiste, car souffrir ou faire souffrir serait une jouissance.
Il y a une attitude à adopter devant la souffrance, une sorte de maîtrise ou de domination de la souffrance, qui génère une jouissance.
Ainsi , à défaut d’ obtenir ce que l’on désire, il faut désirer ce que l’on a.
C’est dans cette logique qu’il faut appréhender l’aphorisme du Crépuscule des Idoles ” Ce qui ne me tue pas, me fortifie” ,” Appris à l’école de la vie “.
Brigitte AYACH
Philosophe
Psychologie
INTRODUCTION
Pour Jean-Paul Sartre (1905-1980), le désir ne se distingue pas du manque. Le but du désir est de satisfaire un manque.
Selon Lacan : « autour du manque se fabrique le désir ». Pour la psychanalyse s’il est possible de définir l’être humain, c’est seulement en tant qu’il est « manquant » et donc « désirant ».
S’il’y a une dynamique du désir nécessaire à la vie le problème est que nos désirs sont souvent plus ou moins bien définis , ils sont rarement satisfaits ou ne nous procurent pas de satisfaction durable d’ où une nouvelle sensation de manque dès qu’un désir est satisfait qui peut être la source d une insatisfaction permanente.
Selon Sartre si tout est plein, si tout est complet, il n’y a plus de place pour le désir. Mais Sartre situe l’origine du désir, donc de ce manque, au sein même de la conscience.
En ce sens Sartre pourrait rejoindre la pensée indienne. L’Inde ancienne a voulu répondre à la question posée par la souffrance du manque et les liens de l’attachement .
Les occidentaux en découvrant dans le cours du 19 e siècle l Inde des renonçants hindous et du Bouddha ont cru que pour accéder à la délivrance il fallait “tuer le désir” ce qui n est pas le cas . Le désir est le moteur de l’action .
L homme libre est libéré de tout désir car il est habité par le désir qui comble tous ses manques . Il est libéré de cette chaîne ininterrompue de remplacer un désir par un autre désir dès que le précédent est satisfait. Il est aussi libéré de désirs causes de souffrances inutiles comme le désir de posséder , le désir de convoitise, le désir de dominer ….
René Daumal écrivain indianiste ( 1908 1944 ) par ses quelques lignes répond à cette question du désir au delà de toute dépendance.
« je suis mort parce que je n’ai pas le désir.
Je n’ai pas le désir parce que je crois posséder.
Je crois posséder parce que je n’essaie pas de donner.
Essayant de donner, on voit qu’on n’a rien.
Voyant qu’on n’a rien, on essaye de se donner.
Essayant de se donner, on voit qu’on est n’est rien .
Voyant qu’on n’est rien, on désire devenir.
Désirant devenir, on vit. »
De nombreuses quêtes s’alimentent ainsi à cette dynamique du désir . Léa
Partie 1 | 10min