Torah

Psychanalyse

Philosophie

Psychologie

INTRODUCTION

 

 

Le risque est inhérent à la vie puisque dès que nous naissons nous sommes confrontés au risque de mourir.
Le premier grand risque a été pris par Dieu qui a donné le libre arbitre à l’homme (Itsraq)
Le risque est en lien avec de nombreux thèmes déjà évoqués : la subversion de la psychanalyse, le dépassement, la souffrance, la peur de l’inconnu, le manque, le hasard…
Quel est l’enjeu du risque.
En psychanalyse, le mal être nous amène à choisir de prendre le risque de changer .
Changer ses croyances, ses habitudes, son métier , de se changer pour devenir celui que l’on est vraiment; pour se transformer : aller au delà de la forme, du paraître, pour pouvoir toucher l’essentiel.
En prenant ce risque : on devient vertueux.
Déjà l’ intention puis la décision de prendre du risque est un grand pas qui demande de l’audace pour dépasser notre peur du changement et de cet aller vers l’inconnu.
En prenant le risque d’oser dire ou d’oser faire pour oser être, on va se familiariser avec la peur qui va devenir une alliée et nous donner la confiance d’aller plus loin. Ainsi le pilote de chasse se sent invincible pendant sa mission.
Si tu ne risques pas le combat ( physiquement ou contre tes démons intérieurs ) tu es ou tu as perdu d’avance .
Finalement le risque vient rythmer notre vie et sans prise de risque il n’y aurait pas de vie.

Léa

 

TORAH

LE RISQUE

Itshak SITRUK nous explique le risque de la consommation des aliments non cacher et les aspects positifs de la cacherout.

SITRUK Itshak

Le risque sous la lumière de la Torah

Le Risque du mauvais penchant.

Partie 1    |    10min

Le Risque

Risque de la consommation des aliments non cacher et apsects positifs de la Cachrout

D’ a choisi d’insuffler un mauvais penchant dans l’Homme et par cela D’ l’a placé dans une situation à risque. Le risque étant de succomber aux tentations du mauvais penchant.
Le déluge est la concrétisation de ce risque. Également, après la faute du veau d’or D’ieu a exprimé l’idée de reconstruire un peuple à partir de Moché ce qui est encore l’expression de ce risque dans la Torah.
Également, les commentaires de la Hagada nous raconte que les juifs en Égypte avaient atteint le 49eme degré d’impureté : proche du point de non retour.
Nous voyons à quel point le risque prend une place important dans la Torah.

Nous allons nous attardons sur les aspects positifs de la cachrout. Nous pourrons en déduire les risques et le manque à gagner à ne pas suivre les règles de Cachrout.

Les animaux cacher se distinguent par deux signes : avoir les sabots fendus et ruminés.
Ces deux signes représentent la faculté de ne pas être matérialiste et de savoir réfléchir avant de s’exprimer. Le fait d’avoir le sabot fendu représente la faculté de servir D’ieu avec amour et crainte avec la même vitalité.

Les poissons se distinguent par leurs écailles et nageoires. Les écailles représentent la crainte de D’ieu et les nageoires l’ambition et le progrès. La crainte de D’ieu garantie que les progrès réalisés seront toujours dans le chemin de la volonté de D’ieu.

Les oiseaux n’ont pas de signe distinctif. Nous connaissons leur Cachrout que par tradition . Ceci nous apprends à avoir un service de D’ieu au dessus de la logique.

Les animaux sauvages qui ruminent et ont le sabot fendu sont également cacher. Il est dont possible de dompter son animal sauvage intérieur (le mauvais penchant) d’utiliser son potentiel et de le diriger vers le bien.

Itshak SITRUK

Itshak SITRUK

Enseignant en Torah 

 

Itshak enseigne la Torah le matin en école primaire.

Instituteur en Torah l’après midi. 

PSYCHANALYSE

LE RISQUE

Au risque du transfert.

Chantal Hagege

Le risque en psychanalyse

Au risque du transfert.

Partie 1    |    10min

Le Risque

AU RISQUE DU TRANSFERT

Lorsque le tonnerre gronde ,et que les éclairs scintillent….
Lorsque la peur apparaît ,avec l’angoisse au ventre….
Lorsque la cage dorée, devient une prison….
Lorsque le symptôme ,prend toute la place….
Alors, le patient les jambes tremblantes, les yeux au bord des larmes, va envisager la démarche thérapeutique, car l’urgence réclame un soulagement quasi immédiat.
L’état de trouble et de mal-être est tellement intense, qu’il force le sujet à consulter.
Les premiers échanges déposés en séance, seront le « creuset » de toute l’avancée de la cure ,censée « creuser « un sillon entre le patient et sa souffrance.
À son insu, et sans soupçonner l’enjeu de son choix, il va se lancer dans les bras de notre ami le Transfert, qui une fois « installé » va « installer » la relation à deux dans cette rencontre si particulière entre Patient  et Thérapeute.
Torturé par son « idéal inatteignable » le patient ,va découvrir au fil du temps dans « l’espace idéal « de la cure que son « moi idéal »est  en train de se construire ,et que des issues les plus surprenantes commencent  à s’ouvrir….
La verbalisation régulière permet la prise de conscience de l’état du sujet. C’est dans un ressenti de début de sérénité ,par le jeu des associations d’idées, qu’il va faire du lien avec son passé refoulé, se le réapproprier, et devenir clairvoyant de lui-même.
Une fois le cadre de travail accepté, pour élaborer son vécu, les résistances liés au refoulement vont faire obstacle à l’avancée de la cure, et le patient ,tel un équilibriste va surfer sur la pointe de l’iceberg flottant en mer profonde.
Ce retour de « refoulé » est loin d’être un long fleuve tranquille, et le patient a très envie de « refouler » son thérapeute qui en évitant au mieux les tsunamis, doit résister aux tentatives de mises en échec.
Des émotions venues d’ailleurs, vont s’imposer au  patient dans une telle évidence ,qu’il ne peut plus ne pas y croire…
Puis peu à peu, libéré de ses préjugés et de ses fausses croyances ,il va « dégeler » son histoire et se prendre au jeu de la fabrication de son nouveau roman de vie ,dont tous les personnages sont revisités et dépossédés de leurs vêtements fantasmatiques  et fantomatiques au profit d’une cohérence retrouvée.
Le risque est grand, la traversée houleuse, et la mer agitée, mais l’enjeu c’est la Libération grâce au DIVAN du Transfert.
Le thérapeute, tout comme Moïse, sont les passeurs de l’histoire.
Lors du don de la Torah au mont Sinaï le peuple voyait les sons!!!!!
C’est donc sous l’influence du DIVIN Transfert qui échappe aux deux protagonistes ,que le patient envoie à son insu des images que le thérapeute reçoit mentalement.
Cette symbiose ,autoriserai la remontée des mots les plus enfouis, et les plus salvateurs chez le patient, qui apprend à s’entendre parler.
Il y a vraiment quelque chose de magique dans cette histoire si particulière entre Analysant  et Analysé !!!!!
Peut-être que la Vraie Magie c’est lorsque l’AME ….AGIT …..
Chantal  Hagege psychologue psychanalyste

Chantal HAGEGE

Psychologue Psychanalyste

– Psychothérapie de soutien (deuil, maladie, séparation, évènement traumatique … )


– Psychothérapie d’inspiration analytique, cherchant le sens profond des souffrances, et des symptômes (anxiété, angoisse, burn out, stress, problèmes professionnels, relationnels, de couple ).

Informations d'accès

1 Avenue De La Cascade Le Haut Du Roy 

95200 Sarcelles

PHILOSOPHIE

LE RISQUE

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Joël

Le risque en philosophie

Dans la Torah “Le Risque” à un rôle primordial dans nos pratiques des mitsvots.

Partie 1    |    10min

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PSYCHOLOGIE

LE RISQUE

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Philippe BOUVIER

Le risque en psychologie

Le Risque l’énergie qui nous emmène au dépassement

Partie 1    |    10min

Le Risque

La psychanalyse nous confronte très rapidement à l’idée du risque. La première chose que nous demande la personne qui vient nous voir pour une thérapie se résume souvent à :
Il y a-t-il un risque à entreprendre un travail psychanalytique.
Nous sommes donc directement confrontés à cette question. Les détracteurs de la psychanalyse ont souvent fait courir le bruit qu’elle était dangereuse et qu’elle risquait de bouleverser la personne et son entourage.
En fait il n’en est rien, le patient va effectivement prendre le risque de se connaître et de se découvrir tel qu’il est. Il faut un certain courage pour sortir de ses habitudes et être dans cette démarche d’introspection et de vérité sur soi-même. Le risque est en fait l’énergie nécessaire qui nous mènera au dépassement de nos habitudes, au dépassement de nos certitudes et à la recherche de notre vérité intérieure.
Le transfert et l’installation de celui-ci au cours de la thérapie va permettre la gestion de ce risque.

Philippe Bouvier